Mes LIVRES






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Mes trois essais sont publiés par Les Editions de Paris Max Chaleil

 54 rue des Saint-Pères 75007 Paris   

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"Le néo-féminisme contre la famille"


Les Editions de Paris Max​ ​Chaleil, janvier 2023

54 rue des Saint-Pères 75007 Paris leseditionsdeparis@gmail.com   

leseditionsdeparis.com (dans essais et documents)


Table

 

Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

I - La société patriarcale et la réaction féministe . . . . . . . . . .

1. Le temps de la femme-déesse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

2. L’invention du père, limite à la « toute-puissance » féminine .

3. La contestation du pouvoir autoritaire masculin . . . . . . . . . . .

4. La « révolte contre le père » . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

ll - La révolution féministe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

1. Succès et limites de la Révolution féministe . . . . . . . . . . . . . . .

2. Une idéologie néo-féministe dominante . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

III - Les dérives du néo-féminisme égalitariste . . . . . . . . . . . . . .

1. Une réaction adolescente . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

2. Une idéologie qui idéalise le féminin et l’enfantin . . . . . . . .

3. Une idéologie sexiste . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

4. Une idéologie égalitariste sans fondements . . . . . . . . . . . . . . . .

5. Une idéologie totalitaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

IV - Les conséquences des dérives égalitaristes . . . . . . . . . . . . . .

1. Les conséquences sur les rapports femmes/hommes . . . . . .

a) La diabolisation de l’homme au pouvoir . . . . . . . . . . . . . . .

b) La diabolisation de l’homme face à la tenue

vestimentaire des femmes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

c) La diabolisation de l’homme jaloux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

d) La diabolisation de l’homme violent . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

2. Les conséquences sur l’éducation des enfants . . . . . . . . . . . . .

a) Des enfants sans père . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

b) Des enfants hors la loi . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

c) Des enfants gâtés toujours insatisfaits . . . . . . . . . . . . . . . . . .

d) Des enfants dans l’incapacité d’apprendre . . . . . . . . . . . .

e) Des enfants peu autonomes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

f) Des enfants aux conduites à risques . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

g) Des enfants de plus en plus violents . . . . . . . . . . . . . . . . . .

h) Des enfants de plus en plus sexistes . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 



Le titre de cet essai aurait pu être :


- Féminisme OUI  -  Féminisme radical NON


- Comprendre le patriarcat pour le dépasser,


sans verser dans les dérives néo-féministes



Résumé



Il y a encore des combats à mener


pour que l’égalité en droits entre les femmes et les hommes


soit parfaitement respectée,


mais profitant d’un large soutien,


des néo-féminismes,


en confondant égalité et égalité en dignité et en droits


et en se radicalisant,


veulent imposer, une idéologie qui devient sexiste et totalitaire,


aux conséquences inquiétantes


(sur les rapports femmes-hommes


sur l’éducation des enfants)


qui ne servent ni les hommes ni les femmes


et encore moins les enfants





Les rapports entre hommes et femmes ont toujours été plus ou moins conflictuels au cours de l’histoire. Mais ils sont plus que jamais d’actualité : on ne parle aujourd’hui que d’égalité femmes-hommes, de parité, de lutte contre les stéréotypes sexistes, contre le harcèlement, contre les violences faites aux femmes, on milite contre le genre, pour l’écriture inclusive, pour la destruction de livres jugés sexuellement incorrects… Pourtant, l’immense majorité de la population de nos pays est prête à mettre fin au sexisme subsistant dans la société patriarcale et soutient le mouvement de libération des femmes. Mais, fortes de cet accord tacite, les néo-féministes veulent imposer leur nouvelle idéologie et avancent des revendications extrémistes. Plus soucieuses de combattre que de débattre, refusant toute critique, elles surenchérissent dans la radicalité et appellent à une « déconstruction » totale.


S’appuyant sur des études de philosophes, psychologues, psychanalystes, sociologues, anthropologues, pédagogues… souvent passées sous silence, ainsi que sur de nombreux témoignages, l’auteur montre que le néo-féminisme est devenu une idéologie sexiste et même totalitaire. Déniant la différence des sexes indépendante de la culture, elle vise non seulement à corriger les erreurs sexistes du patriarcat mais à créer « un homme nouveau ». Ce faisant, elle crée des problèmes pires que ceux qu’elle prétend vouloir résoudre. Ces dérives égalitaristes rendent encore plus difficiles les rapports femmes-hommes et plus problématique l’éducation des enfants.






Comprendre le patriarcat pour le dépasser Pages 6 à10 


Au paléolithique, les hommes restent dans la position d’enfants hypnotisés par les femmes qui les ont portés et mis au monde. Ils les voient mettre au monde des enfants sans pouvoir en expliquer le processus (ils n’ont pas encore fait le lien entre le rapport sexuel et la procréation) et restent subjugués par ce mystère. Les femmes-mères capables de ce prodige ne peuvent être, à leurs yeux, que dotées d’une puissance surnaturelle. Comme la terre, elles donnent la vie et sont divinisées. On a en effet des divinités représentées sous la forme de femmes enceintes.


2. L’invention du père, limite à la « toute-puissance » féminine

...

Malgré ou à cause de leur perception de la femme, les humains ont toujours veillé à ce qu’il y ait au moins un homme aux côtés de la femme pour l’éducation des enfants. Il se pourrait que les humains aient senti la nécessité de cette présence masculine, pour compenser la toute-puissance fantasmatique féminine et, cela a peut-être commencé, bien avant que l’on connaisse l’existence du géniteur.

Alors qu’ils ont peu de temps pour apprendre et encore moins pour transmettre les savoirs à leurs descendants (l’espérance de vie ne dépassant guère une trentaine d’années), il semblerait que les humains se soient aperçus que l’enfant avait plus de facilité à se séparer de sa mère et à devenir autonome (et il faut qu’il le soit rapidement), s’il y avait au moins un homme présent à ses côtés. Toujours autant fascinés par la féminité, les hommes n’auraient cependant pas eu la tâche aisée si, une découverte, bien qu’encore parcellaire, ne leur avait fourni des arguments pour légitimer cette fonction auprès de la mère : à cette époque, en effet, ils commencent à réaliser le lien entre l’acte sexuel et la naissance. Par voie de conséquence, ils ne considèrent plus la naissance aussi mystérieuse, ni la femme aussi magique. Ils deviennent même persuadés qu’ils jouent le rôle essentiel en apportant la semence, et que les femmes ne sont que des réceptacles à l’intérieur desquels « la graine » se développe (il faudra attendre le XVIIIème siècle pour découvrir la fonction de l’ovule). Ils se saisissent alors de cette croyance pour en déduire leur supériorité et trouvent là une justification de leur place auprès des femmes. Ce qu’ils réalisent consciemment se trouve alors en accord avec l’envie inconsciente des tout petits garçons d’inférioriser leur premier modèle, qu’ils continuent de fantasmer tout-puissant mais qu’ils ne doivent plus suivre et qu’ils ont des difficultés à lâcher. Le refoulement de cette « perte » déchirante est ainsi favorisé. Ils ont alors plus de facilité à se construire en homme et à bâtir l’idéologie dont ils ont besoin. Le fait d’apporter leur force physique, indispensable à cette époque, pour défendre la tribu, chasser, pêcher et faire les gros travaux devient alors une autre légitimation de leur pouvoir sur les femmes et les enfants.

Avec la Révolution du Néolithique, ce sont les premiers pas de l’agriculture. Les hommes n’attendent plus que la mère-nature leur procure la nourriture qu’ils se contentaient de cueillir. Ils s’autorisent à travailler la terre, qui perd aussi son mystère, et ce sont eux qui sèment les graines. La nature n’a plus de raison d’être divinisée (comme la femme) et ils vont s’efforcer de la maîtriser.

« Il fallait toutefois avant de pouvoir maîtriser la nature, renoncer au lien fusionnel avec la Mère et la désacraliser. (...) En rabaissant la femme, et par ce biais, en minimisant la puissance maternelle, les hommes pouvaient s’autoriser à dompter la nature, qui est son équivalent symbolique.[1] »

Cette période est pour Gabrielle Rubin, « celle de l’humanisation vraie ; celle du début de la civilisation, celle aussi où l’infériorisation de la femme commence ».

Pour permettre aux hommes de profiter sans scrupules et facilement de leur pouvoir, « l’insertion du mâle dans le noyau mère-enfant » devait se faire sur un mode « non agressif »[2]. Cet « autre » humain devait acquérir une importance que naturellement il n’a pas, ni pour l’enfant, ni pour la femme. Comme le dit Gabrielle Rubin dans Les sources inconscientes de la misogynie [3], il fallait « pour libérer l’enfant - et donc l’adulte - de la toute-puissance maternelle, trouver un contrepoids à cette dernière (...) il fallait un être surpuissant pour contrebalancer la puissance maternelle ». Il fallait donc accorder à l’homme, qui n’a pas la toute-puissance fantasmatique, l’autorité et s’assurer que ce pouvoir de limite sur la femme soit légitimé, en lui conférant une origine divine incontestable.[4] Comme le précise Gabrielle Rubin, « chaque individu (...) s’il voulait accéder à l’indépendance, devait tuer la Mère et par conséquent rabaisser sa représentante dans le réel : la femme. (...) L’égalité du père et de la mère était réelle, la supériorité de la mère était fantasmatique. Et on sait bien que s’il y a conflit entre la réalité et le fantasme, c’est presque à coup sûr ce dernier qui gagne. Il fallait donc quelque chose de plus que l’égalité pour le père ; il lui fallait une supériorité reconnue, et celle-ci ne pouvait être individuelle. Il fallait que cette supériorité soit elle aussi fantasmatique ».

Pour que le pouvoir de l’homme soit admis par l’ensemble, il a fallu faire croire, et ce n’était pas difficile, qu’il provenait des divinités qui ne sont alors plus féminines, mais deviennent masculines. Selon Gérard Mendel, alors que les divinités maternelles ou féminines avaient « un caractère de toute-puissance absolue et magique », « les divinités paternelles marquent le plus souvent l’apparition d’une Autorité constitutionnelle[5] ». L’homme pouvait ainsi se consacrer à ses devoirs sans être dérangé par son désir ou tout au moins en étant suffisamment encadré pour ne pas s’y abandonner trop. Par ce lien de subordination, la mère et la femme étaient rendues moins puissantes, moins terrorisantes pour permettre au père d’intervenir et permettre à l’enfant de découvrir un modèle différent, indispensable à l’avènement de son autonomie. En effet, comme le remarque encore Gabrielle Rubin, « si le modèle d’identification, au lieu d’être le père – ou Dieu le Père – avait été la mère – ou la Grande Déesse, les humains, pris dans les rets de la toute-puissance maternelle, auraient perdu tout espoir de devenir autonomes[6] ». Cette révolution bouleverse l’organisation sociale. Les hommes se sentent investis d’un nouveau rôle à l’intérieur de la famille et s’emparent du pouvoir politique, économique, religieux. La phallocratie s’installe.

A « l’humain enfant », qui n’est pas capable de comprendre sa fascination inconsciente et persistante pour « la femme », l’autorité paternelle impose une discipline stricte pour lui permettre de se structurer. Dans un monde qui se doit, pour fonctionner, de rester dans un minimum d’ordre, elle va s’appliquer à faire en sorte que l’humain soit le moins possible confronté à la féminité qui le tente et le déboussole. « La femme », faisant « perdre la tête » aux hommes, démunis devant le trouble qui les dépasse, est perçue à travers les désordres qu’elle occasionne. « Repos du guerrier », elle apparaît comme une menace pour le héros qu’elle détourne de son devoir. Pour la Bible « elle est un piège, et son cœur un filet, et ses bras sont des liens. Qui plaît à Dieu lui échappe, mais le pêcheur s’y laisse prendre ».[7] Elle devient un mal que le mâle doit éviter. C’est ce que note André Rauch : « les connivences, le rappel des complicités dans les lieux réservés aux hommes, l’usage des codes masculins de la communication gestuelle ont signalé les fidélités au clan du sexe fort. Ainsi se conjuraient les puissances maléfiques du sexe féminin, soupçonné de vouloir soutirer leur force aux hommes pour les attendrir et les dominer[8] ».

L’objet du trouble des hommes au pouvoir, ne pouvait être qu’extraordinaire, magique, mais aussi négatif, immoral et même satanique. La fascination pour « la femme » comme son rejet défensif se retrouve dans les légendes et les mythes des civilisations anciennes qui parlent de l’inconscient. Aux récits des Amazones aux pouvoirs exceptionnels, s’opposent des mythes misogynes qui réduisent la femme et valorisent l’homme. « Pour l’inconscient de chaque homme et de chaque femme » note Gérard Mendel « l’image de la vie, de la fécondité, mais aussi l’image de la mort, de la néantisation, vont être représentées par la femme, la mère, Cybèle, Déméter, ou la Vierge Marie… mais aussi Kali, les Gorgones, Médée, les Parques[9]». Solutionner, ou au moins contrôler cette attirance pour la féminité, a été le but des règles mises en place dans la plupart des civilisations. Partout est imposée la fonction du père, pour interdire « le retour à la mère ». Les sensations de douceur, d’harmonie, d’unité, de complétude, associées à celles éprouvées dans le ventre maternel, et dites féminines, que tout humain a envie de retrouver, étaient alors jugées négativement et dénigrées par les autorités masculines. Pour des humains dans l’enfance, ces dernières interdisaient ce désir qu’ils étaient encore incapables de gérer. Pour empêcher l’homme et la femme d’approcher ces plaisirs, des mesures étaient imposées, accompagnées de sanctions sévères pour dissuader tout contrevenant. Céder à la tentation était un faux pas : un péché. Pour ne pas y succomber, tout ce qui pouvait l’éveiller devait être caché et sali. La femme qui perturbe les hommes, était rabaissée et surveillée. Pour que l’homme ne soit pas soumis à la femme fatale, il fallait fatalement soumettre la femme.

Avec le patriarcat, l’homme se sert du pouvoir comme d’un barrage pour dompter le torrent magnifique que représente la femme fantasmée. Pour être capables de tenir leur rôle auprès de l’enfant et vis à vis de la mère, les hommes, pragmatiquement, fixent des règles précises et rigides. La dictature de l’homme devient totalitaire. Il oriente toute la société en imposant ses principes et les valeurs « masculines ». Pour neutraliser la féminité et limiter sa puissance séductrice, l’homme s’applique à diaboliser la sexualité et à dévaluer toutes les caractéristiques qu’il attribue plus spécifiquement à la femme. Il les qualifie péjorativement de « féminines » et s’efforce de les cacher lorsqu’elles se manifestent chez lui. Inversement, pour marquer sa différence, il valorise et cherche à développer les qualités dites « masculines » qu’il rencontre plus chez lui que chez la femme. Dans le même projet de se distinguer de la femme plus proche de la nature, capable de donner la vie physique, il lui oppose la culture. La raison qui ne serait plus que masculine devient le rempart contre les émotions qui ne seraient que féminines. A la sensibilité, la spontanéité, la proximité, la douceur, la tendresse, il oppose la raison, la loi, la maîtrise, le travail, la rigueur, la distance, la froideur, la force, la bravoure. Le conflit, inévitable, est valorisé et la guerre devient l’affaire des hommes. C’est ainsi qu’avec l’officialisation du pouvoir de l’homme, la division du travail s’accentue.

Après le développement de l’écriture, les règles mises en place dès le Néolithique se renforcent. Elles deviennent indiscutables quand l’adoption du monothéisme impose une seule vérité. Ainsi, l’autorité de l’homme sur terre, et dans la famille, est-elle clairement affirmée : « et ton mari dominera sur toi » dit la Bible à la femme.[10] 

...


 
[1] Gabrielle Rubin, Les sources inconscientes de la misogynie, Editions R. Laffont, 1977.

[2] Serge Moscovici, La société contre nature, UGE, 10/18, 1972.

[3] Gabrielle Rubin, Les sources inconscientes de la misogynie, Editions R. Laffont, 1977.

[4] Le pouvoir est concret et donc limité, la puissance est potentielle et n’a pas de limites.

[5] Gérard Mendel, Apprendre à vivre avec l’incertitude, Editions Robert Laffont, 1979.

[6] Gabrielle Rubin, Les sources inconscientes de la misogynie, Editions R. Laffont, 1977.

[7] La Bible 7, 25.

[8] André Rauch, (auteur du Premier Sexe. Mutation et crise de l’identité masculine, Hachette, 2000) « Culte et déclin de la virilité », dossier Les hommes en question, Sciences Humaines n°112 janvier 2001.

[9] Gérard Mendel, Apprendre à vivre avec l’incertitude, Editions Robert Laffont, collection « Réponses », 1979.

[10] Genèse, 3-16

 













Materner ou éduquer ?


Refonder l’école



 Depuis plus de 40 ans, de vastes réformes sont régulièrement mises en œuvre à la maternelle, au primaire, au collège ou au lycée, visant à améliorer l’école et à permettre aux élèves de s’y épanouir. Or, ces derniers sont de moins en moins motivés et de plus en plus inscolarisables.


Comment une vision du monde, au départ progressiste, a-t-elle contribué à fabriquer des petits dieux incapables d’apprendre et de vivre en société ? Et alors que le credo du « vivre ensemble » envahit notre quotidien, comment sommes-nous arrivés à avoir autant d’enfants difficiles à gérer ?


...   



                                 épuisé










Le féminisme et ses dérives


Rendre un père à l’enfant roi



épuisé





« L’ouvrage de Jean Gabard, riche et exigeant, mais très accessible grâce à une écriture alerte, s’avère très stimulant pour le lecteur soucieux de mener une réflexion sur le bien commun et l’avenir de notre société. »                        ( legraindesable 04 juillet 2006)







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